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Presquevoix...
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5 février 2009

EnsAigner ! (gballand)

Parfois, je me dis que je devrais travailler avec des boules Quies ! La tranquillité assurée et le bonheur retrouvé ! Ne plus s’énerver, faire ses cours, sereine, un sourire aux lèvres… forcément on n’entend plus rien ! Ne rien voir aussi, ça serait bien, plus d’avachissements de corps fatigués sur les chaises ou sur les tables, plus de regards plongeants dans les sacs pour voir les portables, plus d’yeux tendus vers les fenêtres, plus de bâillements ostensibles, parfois bruyants ! Tiens, le rêve, ce serait de faire cours en visioconférence… je crois que je me sentirais moins seule.
Non tout bien réfléchi, le rêve, ce serait de ne pas être obligée de travailler.

Commentaires
G
Beaucoup de souffrances qui parfois ne donnent pas envie de...
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A
De mots, de regards, d'attitudes, de violences tant verbales que physiques, d'outrances de tous genres, d'insolence, de ventres à l'air, de "vautrages" comme les murs, de vandalisme....de voiture rayée, de tags insultants sur les murs du lycée...<br /> Vous en voulez encore?!!!!
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G
Valériane : le hasard, toujours...<br /> <br /> A D. Hasselmann : droit à la paresse, sans doute, et c'est à contre-courant. Mais il est vrai que parfois, le métier use...<br /> <br /> Arthémisia : vous avez raison de parler de "droit au respect". Combien de mots déplacés et qui ne sont pas reconnus comme tels...
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A
Non, D. Hasselmann, ce n'est pas l'éloge du droit à la paresse. C'est l'éloge du droit au respect. <br /> Arthémisia (qui sait aussi de quoi elle parle)
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D
... vous faites une sorte d'éloge du "droit à la paresse", alors que seul le travail - et la culture - nous sortirons de la crise mondiale ?<br /> <br /> Vous êtes inconsciente ou quoi ?<br /> <br /> Et vous voulez que l'on interdise mon livre ?<br /> <br /> Paul Lafargue
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