Politique fiction ?

Ils étaient installés au comptoir d’un bar du 18ème arrondissement et sirotaient leur café de bon matin. Tous très bruns, trop bruns peut-être. Le plus jeune d’entre eux s’exclama :

- Moi, je te foutrais une bombe à l’Elysée et on n’en entendrait plus parler de ce connard !

Le plus âgé, à l’accent prononcé, ajouta :

- Et moi je m’occupe de sa veuve !

Le troisième conclut en rigolant :

- Allez Mohamed, va la poser ta bombe et on se retrouve au chantier.

Le lendemain, la police se présentait chez chacun d’entre eux à six heures tapantes…

Comments

[gballand]

Une chanson prémonitoire, hein ? Bravo pour l'adaptation.

[satyrikom]

Et ils chantèrent les trois en prison:
"On me dit que nos vies ne valent pas grand chose,
Elles passent en un instant comme fanent les roses./ On me dit que (Sarko) est un salaud/ Que de nos chagrins il s'en fait des manteaux.

Refrain:
Pourtant quelqu'un m'a dit...
(qu'il y avait une bombe)

On dit que (Sarko) se moque bien de nous
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
Parait qu'le bonheur est à portée de main,
Alors on tend la main et on se retrouve fou.

Refrain
Mais qui est ce qui (lui) a dit...
(qu'il y avait une bombe)"

[satyrikom]

Et ils chantèrent les trois en prison:
"On me dit que nos vies ne valent pas grand chose,
Elles passent en un instant comme fanent les roses./ On me dit que (Sarko) est un salaud/ Que de nos chagrins il s'en fait des manteaux.

Refrain:
Pourtant quelqu'un m'a dit...
(qu'il y avait une bombe)

On dit que (Sarko) se moque bien de nous
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
Parait qu'le bonheur est à portée de main,
Alors on tend la main et on se retrouve fou.

Refrain
Mais qui est ce qui (lui) a dit...
(qu'il y avait une bombe)"

[gballand]

Jac-zap : bon, je vais me calmer.

Gicerilla : c'est vrai ça, et je serais presque contente...

[Gicerilla]

Et le pire c'est que vous n'êtes certainement pas loin de certaines réalités ! En attendant, bientôt plus d'essence à la pompe...