Cinq ans… ou l’anniversaire
Sur le blog « jedouble », un texte de gballand illustré par un photomontage de Patrick Cassagnes
Il y a des anniversaires qu’on ne peut pas oublier. Pour en savoir plus, c’est ici !
Sur le blog « jedouble », un texte de gballand illustré par un photomontage de Patrick Cassagnes
Il y a des anniversaires qu’on ne peut pas oublier. Pour en savoir plus, c’est ici !
La mort me fait un peu penser à une Teinturerie géante. Lorsqu’elle rend un défunt dans son urne rutilante ou son cercueil immaculé – après lui avoir déposé au préalable le reçu de sa vie - il est entièrement lavé de toute tache. Evidemment le prix à payer est très cher. En ce qui me concerne, je préfère m’accommoder de mon vêtement souillé de vie plutôt que de revêtir la robe angélique de la mort...
Sur le blog « jedouble », un texte de gballand illustré par un photomontage de Patrick Cassagnes
" J'ai la phobie de mon mari, je passe ma journée à l’éviter !… » Pour lire la suite, c’est ici !
Sur le blog « jedouble », un photomontage de Patrick Cassagnes , illustré par un texte de gballand.
« Un jour elle m’avait dit que la mer anéantirait la terre. La prophétie lui avait annoncé quelle serait la reine des eaux… » Pour lire la suite, c’est ici.
Sur le blog je-double, un texte de gballand, illustré par un photomontage de Patrick Cassagnes
« Quand elle avait lu l’écriteau – "interdit de mourir" - à l’entrée du chantier, elle s’était demandée qui avait bien pu placer ça là… » Pour lire la suite, c’est ici !
Il laissait toujours un badge avec son nom et son prénom sur la table de nuit : la peur de se réveiller et de ne plus savoir qui il était.
Sur le blog je-double, un photomontage de Patrick Cassagnes, illustré par un texte de gballand.
« Quand elle avait vu le gros lézard sur la plage, la petite fille avait poussé un hurlement qui avait obligé sa mère à se relever alors qu'elle paressait sur le sable blond… » Pour lire la suite, c’est ici !
C’était étrange : quand elle appelait son fils elle lui donnait le nom de son chien et quand elle appelait son chien, elle lui donnait le prénom de son fils.
Encore une histoire sans queue ni tête ?
Sur le blog je-double, un photomontage de Patrick Cassagnes, illustré par un texte de gballand.
«A l’office du tourisme, on lui avait dit que c’était une légende, qu’il n’avait jamais existé, mais elle n’en croyait rien... » Pour lire la suite, c’est ici.
Elle avait la fibre créative, c’était incontestable. Combien de symptômes ne s’était-elle pas créés depuis 20 ans ? Et elle n’était pas disposée à s’arrêter en si bon chemin…