J’en ai marre des cons de proximité…
J’ai glané cette expression au hasard d’une conversation de café. Après les commerces de proximité, les cons de proximité… et là, il y a pléthore si j’en crois la personne qui en parlait... Mais c’est quoi un con ? Il y a toutes sortes de cons et, comme le disait Brassens dans sa jouissive chanson, « Le temps ne fait rien à l’affaire » !
On pourra remarquer qu’on est toujours le con de quelqu’un… mais faute avouée à moitié pardonnée… ne suffit-il pas de reconnaître qu’on est con pour être tout de suite un peu moins con ? Et puis il y a les faux cons et les vrais cons. Mais à quoi peut-on reconnaître un vrai con me direz-vous ? Il me semble – mais ce n’est qu’une simple hypothèse de travail – que le vrai con s’ignore. Le vrai con pense qu’on naît con, mais pas qu’on le devient ; le vrai con ne s’étonne pas de la connerie des autres - puisque forcément, c’est toujours les autres qui sont cons - mais s’étonne toujours qu’un jour, on puisse injustement le traiter de con !