Fin ?

Il avait eu le mauvais goût d’être inhumé le jour où elle avait prévu de partir en vacances en Islande. Impossible de ne pas aller à l’enterrement, on le lui aurait reproché. Décidément, son frère lui avait « pourri la vie », du jour de sa naissance jusqu’au jour de sa mort.

Comments

[D. Hasselmann]

Voyage... voyages... :-)

[LOU]

Voilà ce que c'est que ce frère appelé Eyjafjöll. Il aurait fallu lui apprendre à ne pas exploser de colère ! Cendre, tu es, cendre tu y retournes, marmonna-t'elle, en sortant du crématorium, avant de le répandre sur la "Pacha Mama".

[espiguette]

Et lui, le frère, personne ne lui a reproché de choisir sa date pour être enterré ? Même au-delà de la mort les pourrisseurs de vie vont .... Et non, ce n'était pas fini ! Il s'était arrangé aussi pour que quelques jours plus tard (alors qu'elle s'apprêtait pourdeuxième fois à partir) pour être déterré: usurpation de tombe !

[alainx]

Et quand on sait que le frangin était le fruit des amours adultères de sa chère maman… il ne faut pas s'étonner qu'elle a foutu la honte à toute la famille lorsqu'elle se mit à cracher sur le cercueil en pleine cérémonie…

[corps expéditif]

Déjà on l'avait prévenue du suicide de son frère alors qu'elle guettait l'arrivée de son nouvel amoureux…