le piano
Chers voisins,
Je me permets de vous envoyer ce courrier car, entre le 24 et le 25 novembre, j’ai passé une nuit épouvantable. Je dois dire que votre pratique du piano, de minuit à 3 heures du matin, m’a « percé » les tympans.
Au cas où vous l’auriez oublié, nous sommes en mitoyenneté. J’entends donc ce qui se passe chez vous - sauf vos conversations, n’ayez crainte.
J’espère que dans les jours, mois et années à venir, vous aurez l’extrême obligeance de mettre la pédale douce après 22 heures. Soyez sûrs que cela ne diminuera aucunement vos progrès dans la pratique de l’instrument.
Je vous souhaite une excellente semaine. Sachez que la mienne commence de façon douloureuse car une migraine sévère me vrille le cerveau ; serait-ce dû à ce « concert » nocturne ?
Votre voisine,
GB