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Presquevoix...
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19 octobre 2013

Le mât

P1010067

- Chiche, si tu montes, je monte !

Il n’était pas monté, elle non plus, et tous deux contemplaient le mât sur le quai que la foule avait déserté. Terminés les défis, pensa-t-elle déçue. Elle le laissa seul  et ne lui dit pas même au revoir. Comment  avait-elle pu l’aimer ?

PS : Photo de C. V. prise durant l'Armada, à Rouen.

Commentaires
L
grimper ! mais bon grincer aussi, parce que, aie aie les articulations ! super ce jeu de mot involontaire !
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L
Ben ce matin, j'ai sorti l'escabeau, l'ai déployé. Puis en haut des marches, décrocher les rideaux, nettoyer les carreaux. Inutile d'attendre un éventuel monsieur. La ménagère de plus de 50 ans a pu admirer la belle lumière qui éclaire la cuisine. Bon j'en ai pour quelques semaines avant de grincer ainsi sur cet engin peu stable, malgré tout.<br /> <br /> PS : le mât pour les autres, j'ai le vertige et n'ai pas le pied marin... :)
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C
S'aimer par et dans le défi et quand il ne peut plus être se laisser.<br /> <br /> Une certaine conception de l'amour...
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C
C'est le genre toujours plus haut, toujours plus fort. Epuisant.
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P
Quand la désillusion se pointe et qu'on ne fait plus rien pour surprendre l'autre alors l'histoire se termine... avec toujours un pincement au cœur.
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