5 juillet 2012
Le chemin de croix
Pour avoir confondu deniers du culte et deniers du cul, l’amour du prochain et l’amour de la chair, l’eucharistie et la cocaïne, le voici, sans chasuble ni livre de messe, devant des juges qui ne sont ni apôtres, ni enfants de chœur.
Il se souvient du temps lointain où, pénétré, il brandissait le calice devant le tabernacle. Il dit aux juges qu’il regrette d’avoir troqué le seigneur pour un berger cocaïnomane, mais il est trop tard. Ite missa est.
PS : texte écrit à partir de cet article lu dans le figaro.
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