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Presquevoix...
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8 décembre 2011

Le cabinet de lecture

Le cabinet de lecture prenait tant d’importance qu’on ne savait plus où ranger le papier hygiénique, les affaires de toilettes et les produits d’entretien. Les livres aux oubliettes étaient placées sur l’étagère du haut. Quant aux livres  sur le pèse personne – qui ne pesait plus personne depuis longtemps -  ils faisaient partie de la catégorie « à lire absolument ! » et ils étaient dévorés, sans que nul ne se soucie jamais de « l’envie pressante » des uns et des autres…



Commentaires
G
Une moquette faite de livres ; dangereux, mais indéniablement séduisant.
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L
l'impression de retrouver la moquette de ma chambre sur laquelle on ne sait où poser les pieds
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G
pagenas : je n'en citerai pas, par égard pour les auteurs...<br /> <br /> Valériane : bien joué ;.)<br /> <br /> D. Hasselmann : j'aime beaucoup : "ces grandes horloges pondérales". Difficile quand même d'en avoir une chez soi, à moins de la mettre dans le salon et d'obliger les invités à monter dessus avant le repas, puis après.<br /> <br /> Séraphin : un dicton pour les émissions littéraires !<br /> <br /> caro : ce lieu sert à se débarrasser de tout ;.)<br /> <br /> Pastelle : oui mais se lieu a ses "aficionados", j'en connais plus d'un...<br /> <br /> anne : merveilleux endroit, donc. Et maintenant, qu'y lisez-vous ?<br /> <br /> Ursula : lire à derrière reposé, une trouvaille. "Sic transit" et un "trou noir"...<br /> <br /> Latil : ne me dites pas que vous le faites encore... !
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D
@ Gringoire : il me semble que la citation bien connue de Henri Jeanson est : "Je l'ai lu d'un derrière distrait".
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L
Oui, c est trés ennuyeux quand il n y a plus de place pour écrire des cochonneries sur les murs!<br /> Bonne soirée Latil
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