Il aimait dessiner. Depuis son enfance, ce plaisir ne l’avait jamais quitté et, à 45 ans passés, il continuait à faire quelques portraits. Le dernier en date, c’était celui de sa mère. Il en avait été particulièrement satisfait. Hélas, il l’avait lacéré au cutter deux jours plus tôt et il en avait été fort chagriné. Mais ne valait-il pas mieux tuer le portrait plutôt que sa mère ?
Commentaires sur Le portrait
- à pagenas, oedipe, D. Hasselmann, Lautreje, caro, Pastelle, Huguette Happantpagenas : peut-être finalement.
Oedipe : vous me faites rire. Une ambiance de rêve, non ? Du vécu, d'ailleurs, mais le tout n'est pas de mon cru.
D. Hasselmann : oui, on comprend mieux l'acharnement au cutter ;.)
lautreje : bien trouvé. Cela le calmera peut-être ;.)
caro : celui-ci risque de le mener à l'atelier thérapeutique de l’Hôpital psy ;.)
Pastelle : il pourrait faire les deux. On gagne à tous les coups !
Huguette Happant : Non mais je vais l'écouter.

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