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Presquevoix...
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11 octobre 2011

La critique

Quand cet auteur lui avait demandé, par mail, ce qu’il  pensait de son manuscrit, il avait préféré ne pas répondre, surtout que le manuscrit lui était tombé des mains dès la sixième page. Mais l’auteur était revenu à la charge, jour après jour, et l’éditeur avait bien été obligé de lui dire la vérité, avec quelques précautions oratoires, cela s'entend.

L’auteur lui avait répondu le soir même, par mail : « Quand je vois à quel point vous êtes aveugle, je ne m’étonne pas que votre minable petite boite d’édition coule. D’autres sauront apprécier les qualités de mon manuscrit. C. Cluant. » 

Commentaires
G
lautreje : je le pense aussi ;.)<br /> <br /> Caro : la bourse appliquée au monde de l'édition, c'est étonnant.<br /> <br /> D. Hasselmann : Il aura eu raison. Voilà un genre qui marche, mais les lecteurs sont exigeants. Un nom ne suffit pas ;.)
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D
L'auteur décida, de manière plus pragmatique, de s'orienter alorsvers le roman policier, sous le pseudo de C. Luedo.
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C
il aurait spéculé, gagné, publié... mea culpa...
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C
Il aurait du la coter en bourse, sa petite entreprise. Publier cette peut-être daube littéraire. Après une baisse de rating, il aurait spéculer à la baisse. Gagner un max et publier un bestseller "Be bearish" sur comment s'enrichir en temps de crise...<br /> <br /> Concluant ?
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L
et un con promis vaut mieux qu'un con dû !
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