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Presquevoix...
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16 décembre 2009

Prison (gballand)

Quand on lui  demanda comment il vivait l’enfermement, il  répliqua : «  Je suis allergique à la liberté. »

Commentaires
G
Caro-carito : un signe certain, les boutons.<br /> <br /> D. Hasselmann : voilà bien une action "à la Mam", et cette période - lointaine - d'évaluation m'a fait sourire...
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D
Dans les prisons, en plus des "cellules de crise" (les détenus se suicident cinq fois plus que les hommes libres, lit-on dans lemonde.fr de ce jour), on finit par instaurer des "cellules d'allergie".<br /> <br /> On recruta une centaine d'allergologues, chargés de tenir une permanence, une fois par semaine, dans les maisons d'arrêt, centrales, centres de détention et de rétention divers.<br /> <br /> Leur but ? Ecouter les patients (certains depuis des dizaines d'années), leur donner la pilule miracle (Mamzifluzine) et quelques conseils de vie "entre les murs" : regarder plus souvent la télévision, "cantiner" de manière plus luxueuse - Noël approchait - parler avec les co-détenus surtout de la pluie, de la neige et du beau temps.<br /> <br /> Un bilan serait fait, concernant cette action thérapeutique et de "réinsertion", en 2024.
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C
Cette histoire me donne des boutons. Suis-je allergique à l'idée d'enfermement? et d'accommodation.
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G
Cette phrase m'a été rapportée par un visiteur de prison qui la tient d'un détenu. Quant à l'interprétation...
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P
La méthode Coué ? :D
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