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Presquevoix...
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8 avril 2009

L’enterrement (gballand)

A une amie qui s’étonnait de ne pas la voir pleurer - comme la coutume le veut - le jour de l’enterrement de son mari, elle répondit d’une voix sèche.


- Au moins, maintenant, je sais où il est ce cavaleur !

Commentaires
G
Vous y êtes déjà allé ? ALors, ça vaut le "coup" ?
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C
et au Paradis, les coureurs de jupons se prennent souvent les pieds dans leur toge blanche. Rien ne sert de courir messieurs.
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G
Bien amené, comme un écho.
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D
Attention : vous n'avez pas écrit Il Cavaliere ?
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G
Frasby : votre histoire est surprenante... la mienne est fausse 100%.<br /> <br /> Danalya : Ce "bien fait" m'a fait sourire.<br /> <br /> Latil : On ne sait jamais ce que les pleurs veulent dire...
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