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Presquevoix...
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31 janvier 2009

Critique imaginaire du roman que je n’écrirai pas (gballand)

Ce livre fait partie de ces romans qu’on feuillette aux hasards des rayons d’une librairie - son titre y est pour beaucoup - et qu’on achète faute de mieux. Un de ces romans qu’on ne peut lire  jusqu’au bout, à moins d’un séjour prolongé dans une  station balnéaire de la côte Normande, quand la pluie et le vent vous condamnent aux quatre murs de votre chambre d’hôtel.

L’auteur se croit drôle sans l’être vraiment, tant son humour s’essouffle.  Elle semble se complaire à déstructurer son récit mais ce qu’elle nous montre finalement, ce n’est que son inexpérience à maîtriser l’art du roman. L’auteur, et elle me le pardonnera certainement, aurait pu tout aussi bien faire une nouvelle de ce roman et, la concision aidant, sans doute aurait-elle  donné à son récit un souffle que le roman ne trouve à aucun moment.

Commentaires
G
D Hasselmann : n'y a-t-il pas de nombreux éditeurs massacreurs ?<br /> <br /> valériane : Broder, oui c'est ça le problème. Je n'aime pas la broderie.
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V
C'est très bien vu, parfois on brode parce que linspiration manque - La parole , l'écriture deviennent inutiles et pourtant elles insistent -<br /> Bon dimanche A+
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D
Ce roman n'aurait jamais dû voir le jour. L'éditeur est un massacreur. Il n'aurait pas dû voir le jour non plus.
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G
Martin : Restent les nouvelles et les "fragments", non ? Il n'y a pas de quoi désespérer...<br /> <br /> Charlotte : Oui. Ah, la sagesse.
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C
Heureusement que tu ne l'as pas écrit ... ce roman!
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