A quoi tient le bonheur...
(auto fiction)
Je pense qu’il est plus facile de rendre heureux le mari d’une autre que le sien ! D’ailleurs je l’ai vérifié. Attention, façon de parler, je veux dire que j’aurais pu le vérifier- comme tant d’autres - mais ça ne s’est pas fait ; au dernier moment, je n’ai pas pu sauter, question d’éthique ! Voilà, je peux juste dire que théoriquement, j’aurais pu rendre cet homme – que nous pourrons appeler Hubert, François ou Barnabé - plus heureux que mon mari, qui d’ailleurs n’est pas mon mari parce que nous ne sommes pas mariés. De toutes façons, mariés ou pas, le résultat est le même, mais le tout sans l’emballage de la cérémonie sacrificielle.
C’est vrai que mon vrai faux mari ne m’a jamais dit qu’il était malheureux, mais parfois, il y a des détails qui ne trompent pas, même moi ! ! !